Alors que Yuna va dire adieu à sa copine qui déménage, elle
est interpellée par Akari qui, elle aussi, part dire au revoir à quelqu’un.
Akari a malheureusement oublié son portefeuille et est dans l’incapacité de
prendre le train. Yuna, étant dans la même situation, accepte de l’aider.
Akari promet de lui rendre l’argent prêté et lui laisse un bracelet en gage de
bonne foi. Lorsque les deux jeunes filles se retrouvent, elles se rendent
compte qu’elles habitent le même immeuble et qu’elles seront dans le même
lycée à la rentrée. Commence pour elles, une amitié faite de haut et de bas, de
sourires et de larmes, une amitié forte comme il en existe tant. Mais l’amour
naissant qu’éprouve Yuna pour le frère d’Akari pourrait bien tout remettre en
cause …
Encore une fois, Io Sakisaka nous narre les déboires
sentimentaux de deux adolescentes. Yuna est une jeune fille réservée et timide
n’ayant jamais fait l’expérience de l’amour, son amie, Akari quant à elle est
joviale et franche avec un parcours sentimental plus chargé que celui de sa
comparse. Toutes deux vont arpenter le chemin qui mène à l’âge adulte mais de
manière différente. Pour la troisième fois, Sakisaka joue avec les classiques, les
sublime et nous offre une pépite, un diamant bien taillé qui nous maintient en
haleine jusqu’à la fin. Du grand art en petit format à ne laisser passer sous
aucun prétexte.
Aurely
Love be
loved, leave be left chez Kana.
Egalement disponible chez le même éditeur:
Blue spring ride - Finie en 13 tomes.
Strobe edge - Finie en 10 tomes.